Pourquoi ces récits ?

Capitaine Train est une start-up française qui a réussi. Depuis le petit bureau en pépinière à Massy-Palaiseau jusqu’au rachat pour plus de 100 millions d’euros, la vision des fondateurs a été brillante et l’histoire a donné raison à leur ténacité.

Cependant, nous voulons raconter la petite histoire, celle d’employés, vue et narrée par eux-mêmes. Nous sommes fiers d’avoir pu participer à cette aventure, nous avons beaucoup appris et nous sommes peut-être un peu vaniteux de croire que notre expérience pourra servir à d’autres personnes.

Il ne s’agit pas d’un blog officiel. Ni Trainline Europe, ni les fondateurs, ni aucun dirigeant présent ou passé ne sont impliqués dans la rédaction, et nous ne parlons nullement en leur nom.

Il ne s’agit pas non plus d’un règlement de comptes ou de révélations de petits secrets, mais uniquement d’un retour avec un peu de recul — et pourtant très subjectif — sur ce qui nous a permis, en tant qu’employés, de bien travailler et faire quelque chose dont nous sommes fiers.

Au delà d’un lecteur curieux, ce livre servira d’aide-mémoire à la diaspora des Capitaines qui voudront apporter un peu de l’héritage de Capitaine Train dans leurs entreprises. Nous contribuerons ainsi à un monde où le service client est au centre et où le développement est de l’artisanat animé par l’amour du travail bien fait.

À quoi s’attendre

À tort ou à raison, Capitaine Train a souvent été cité en exemple. Pour certains, c’était l’exemple d’un produit réussi. Pour d’autres, une expérience de recrutement particulière, ou une revente impressionnante. Mais ici, nous voulons évoquer ce qui faisait monter la sauce, sans être aussi visible de l’extérieur : les liens entre le service client et les développeurs, la diffusion de l’information en interne, tout ce qui forme une culture et qui a constitué ce groupe d’employés divers, aux opinions tranchées, mais fonctionnant bigrement bien ensemble.

Au fil des semaines, nous allons diffuser ici des histoires, des récits, des descriptions d’organisation et de moments partagés – du point de vue, à chaque fois, d’une personne particulière. Nous espérons dessiner une constellation de récits qui se croisent, s’enrichissent, se contredisent, et dessinent au final un tableau subjectif de ce qu’ont pu être ces années passées à construire Capitaine Train.